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Charte de l'Écologie Vitale

L’Écologie vitale unit maturation personnelle et action citoyenne. Se reconnaissent dans l’Écologie vitale les individus ou organisations qui acceptent les trois principes suivants:
 

  1. Se ressourcer dans la nature
    Se ressourcer dans la nature, notamment pour y recalibrer sa boussole intérieure.

     

  2. Défendre la nature
    Défendre la nature en considérant que la protéger pour la ranimer en nous est une motivation essentielle. Ceci implique de ne pas soutenir des lois qui méprisent la nature. Chacun défend la nature quand il le veut, autant qu’il le veut, et comme il le veut — dans les limites toutefois du principe suivant.

     

  3. Renoncer à la contrainte
    Il s’agit de convaincre. Renoncer à influencer les décisions collectives par la violence, l’autoritarisme ou toute forme de contrainte. Cela exclut notamment les blocages ou occupations visant à attirer l’attention. Cela n’empêche pas de soutenir une loi contenant des obligations ou des interdictions, pour autant qu’elle soit adoptée démocratiquement, sans contrainte.

     

Ces trois principes définissent l’Écologie vitale. Quiconque les respecte peut participer à son réseau. Sur ce réseau, chacun choisit avec qui il interagit.
 

Concernant les modalités, l’Écologie vitale accueille la diversité des perspectives, y compris sur des sujets controversés comme le nucléaire, la libéralisation du marché de l’électricité, le rôle des taxes incitatives ou la gestion des impacts redistributifs. La discussion est encouragée, dans un esprit de respect mutuel.

 

L’Écologie vitale n’est pas un parti ni une association. C’est un état d’esprit et un réseau. Elle n’a ni adresse postale ni compte bancaire. Pas de chef ni de représentants. C’est donc trois fois rien. Mais de ce rien, tout peut surgir.

Dites ce que vous pensez de l'Écologie vitale:

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